Deiturak

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Como sobrenombres son muy frecuentes los adjetivos: [...] gaitz 'mal' 'malo', empleado en segundo miembro de topónimos como (don Semen de) Bassagayz (505, 1289, cf. viam de Vasaguarç por -guaiç 122, s. XIII)
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Sancho de Legasa et Enego de Basagaiz, II florines
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Miguel de Basaguayz, II florines
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bassagaitz Menaut de_, notaire, 1395 (Archiv-Nav.79.4.XIII i)
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bassagaitz Menaud de_, notaire, instrumente à Ordiarp, 1421 (Arch. B.-P., G 207)
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Le 17 décembre 1203 au château de Gramont primitif à Viellenave, qui avait rang de forteresse et sera dit quelques décennies plus tard castrum au moment où le roi de Navarre l’assiège pour manquement au devoir de vassalité, le seigneur du lieu Vivien II prête serment de fidélité à Sanche le Fort roi de Navarre [9 Cl. URRUTIBEHETY, “Coexistence de la féodalité et du franc-alleu en Basse-Navarre”, Bulletin de la Société des Sciences, Lettres et Arts de Bayonne, n°129, 1973, p. 95-96]. Parmi les 26 témoins venus des environs qui prennent eux- mêmes l’engagement de “faire tenir à Bivianum de Agramont cet accord et tout ce qui est écrit plus haut dans la charte”, figurent plusieurs Mixains [...] Sans Aner de Bassavay (maison disparue, si ce n’est une cacographie ou mauvaise lecture pour “Bassagaitz” nom de maisons fivatières à Larribar en 1350: la présence d’un fivatier signataire est peu vraisemblable toutefois) [10 Il faut tenir compte cependant du fait que des maisons ont pu changer de statut au cours du Moyen Age, changement parfois documenté comme pour la maison Alzatea de Saint-Jean-le-Vieux d’après l’enquête du monnayage de 1350, qui passe en peu de temps de fivatière de Harrieta à noble etc. Voir le chapitre II]
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à Saint-Esteben des maisons fivatières “botheyas” nommées en 1350 “la sala de jara, urq(u)arana, aRieta” (leur seigneur n’est pas nommé, parmi les trois maisons nobles du lieu), et d’Etxarte, Basagaitz et à nouveau Urkaran qui sont désignées toutes trois en 1412 “omes q(ue)staus d(e)la sal(le) de sorhaburu: // Joh(a)n s(eyner) d’etchart // Guillen s(eyner) de bassagaytz // Pes s(eyner) durq(u)aren”
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