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IV. Encuesta toponomástica [en Euskera, núm. 33, Bilbao: Euskaltzaindia, 1988, pp. 289-301] (...) 9.3.7. Manzano; Manzanal (Sagar; Sagardi).
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XVIII. Reseña del libro Toponomástica histórica de Santesteban de Lerín (Regata del Ezkurra) de Andres Iñigo Ariztegi [en Revista Internacional de los Estudios Vascos, XLII, núm. 2 (1997), Donostia / San Sebastián: Eusko Ikaskuntza, pp. 447-449] [...] Repasar la onomástica rural y urbana (casas) es conectar con un pasado remotísimo y a la vez vivo, de campos cultivados, incluso con viñedo (ardantzea en Doneztebe), vegas (landa), bosques (ohiana), castañales (gaztaindegi), manzanales (sagardi), y la industria tradicional representada por los errota, telleria, dolarea o tolaretea. Sorprende descubrir entre las casas de Ituren una Tuteranea.
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Du même fait résulte le développement des références de la domonymie à l’idée générale de hauteur directement exprimée d’abord par gain “hauteur, position élevée, au-dessus de” formant des composés comme bidagain, gainxuri, mendigain, argain, mokozugain, mehakagain, etc., parfois réduit à un -ain terminal qui peut se confondre avec d’autres éléments (suffixe anthroponymique: voir plus loin). Plus fréquents encore divers termes proches de la même base comme garai “élevé, situé en haut”, garate “lieu élevé”, goiti “haut, vers le haut”, goien “le plus haut”, statistiquement prédominants par rapport à leurs antonymes nommant le “bas” (voir plus loin). Ces termes peuvent former des domonymes à eux seuls, certains très courants comme garate partout, garai et goiti plus spécialisés en Mixe et Soule, ou entrant dans toutes sortes de composés: garatehegi, elizagarate azkarate, etxegarai, elizagarai, irigarai, garaikoetxe, irigoien, etxegoien, goienetxe, larragoien, hegigoien, laskoiti, irigoiti etc.
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